En 2012, notre lecteur de mongol à l'INALCO, le poète Zagdyn Tümenjargal, disparaissait dans des circonstances dramatiques.
Par ce petit spectacle construit autour de quelques-uns de ses poèmes, monté en un jour de répétition, et donné au théâtre de l'ENS Ulm le 2 mai 2012, nous avons voulu lui rendre hommage, tout en faisant découvrir au public parisien quelques aspects de la musique, de la danse et de la poésie mongoles.
AVEC
Trio Sarasvati : Bouzhigmaa Santaro – morin huur (vièle à tête de cheval), Ganchimeg Sandag – shanz (luth), Viviane Bruneau-Shen – yatga (cithare)
Raphaël Blanchier et Naranchimeg Tömörbaatar – danse
Trio Sarasvati : Bouzhigmaa Santaro – morin huur (vièle à tête de cheval), Ganchimeg Sandag – shanz (luth), Viviane Bruneau-Shen – yatga (cithare)
Raphaël Blanchier et Naranchimeg Tömörbaatar – danse
Tamir Choison –
poèmes, chant, guitare
Anne-Sylvie Meyza – poèmes.
Captation par
Marie-Julie Huet et Guillaume Delsert.
Coordination : Raphaël Blanchier et Anne-Sylvie Meyza
Au rythme du luth shanz, de la vièle-cheval morin huur et de la cithare yatga, au fil des danses et des poèmes, La Mélodie Verte
résonne « comme la cloche sur le dos d’un poulain ». Elle évoque avec
une délicatesse empreinte d’émotion les détails quotidiens et les
contours harmonieux des paysages, la nostalgie du pays natal et la joie
de vivre sous le ciel bleu. Une invitation musicale, poétique et
chorégraphique vers une autre Mongolie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire